(extraits) : « Connu pour ses convictions et son engagement, Bernard Wittmann ne mâche pas ses mots. Son propos irritera les adeptes des tisanes tièdes et de la politique de l’autruche. Ni consensuel ni optimiste, il montre la réalité des faits (…) Après André Weckmann et d’autres, il cerne les mécanismes du pavlovisme qui conduisent à la dépersonnalisation. Il démontre le processus de l’aliénation (rendre étranger à soi-même) qui fait des Alsaciens les agents de leur autodestruction (…)

Extraits - Concerne : "Une histoire de l'Alsace, autrement" :
« Grâce à Bernard Wittmann, nos bibliothèques peuvent enfin être riches d’une vraie histoire de l’Alsace. Fini les flonflons franco-français à Hansi, finis « nos ancêtres les Gaulois », en clair, finis les mensonges sur notre passé. L’histoire importée qui n’est que celle du pouvoir et de la raison d’état triomphante est ici exposée à une vérité historique qui, jusqu’à présent, était un quasi blasphème de l’histoire. Un livre qui ouvre enfin le vrai débat sur l’identité alsacienne… ».
Extrait - Concerne : "Une histoire de l'Alsace, autrement" :
« …Bernard Wittmann a érigé un véritable monument avec le premier tome (Débuts historiques à 1918) de 322 pages, un second (L’Alsace autonomiste : de 1918 à 1940) de 286 et un troisième (1940 à nos jours) de 298.
Cet historien passionné y démystifie, dénonce, ressuscite, réhabilite, propose. Il démystifie les généraux (Turenne « le bourreau de Türckheim », Monclar, Kléber, Westermann… etc) et « la comedia dell’arte » de la « réunion de Mülhausen à la France ».
Lire la suite : Dans la revue trimestrielle Objectif Alsace (n°120 – Automne 1999)